La nouvelle équipe de gendarmes mobilisée sur l’épreuve a été accueillie, à la DGGN, par le général de division Olivier Kim, adjoint au major général (GAMG). L’occasion pour lui de présenter le polo de l’équipe de France
132 coureuses s’élanceront depuis les Champs-Élysées ce dimanche, quelques heures avant que les hommes ne bouclent leur 21e et ultime étape. Comme pour l’épreuve masculine, la gendarmerie sera présente au cœur de la caravane pour dispenser des messages de prévention et de prudence, mais aussi tout au long de l’itinéraire, pour assurer la protection des cyclistes et des spectateurs.
Après douze ans d’absence, le Tour de France Femmes, disputé de 1984 à 2009, fait son grand retour cette année sur les routes de France, avec un parcours de total de 1 029 km en huit étapes, localisé dans le quart nord-est de la France. Vingt-deux équipes, composées chacune de six coureuses, s’élanceront depuis les Champs-Élysées ce dimanche 24 juillet, à 13 h 40, quelques heures avant que les hommes ne bouclent leur 21e et ultime étape.
À l’instar de son grand frère, la Boucle féminine comprend également une caravane, dont le format est toutefois plus réduit et l’organisation différente.
La gendarmerie nationale, présente au sein de la caravane du Tour masculin depuis 1995, poursuivra sa mission sur l’épreuve féminine, avec un détachement de huit caravaniers, emmené par la lieutenante Meriam, de l’Escadron de gendarmerie mobile (EGM) de Saint-Étienne-les-Remiremont (88), et deux véhicules.
Six nouveaux militaires rejoindront ainsi l’animateur et le logisticien déjà présents sur le Tour masculin, afin de porter les couleurs de la gendarmerie du 24 au 31 juillet.
En effet, bien que le tracé soit plus court et le nombre de participants plus restreint, tant au niveau des cyclistes (132 contre 176) que de la caravane, l’épreuve nécessite la mise en place d’un dispositif de sécurisation conséquent.
Outre les motocyclistes de la garde républicaine et des EDSR, un peloton de l’EGM de Dole sera mobilisé, de même que des Pelotons de surveillance et d’intervention de gendarmerie (PSIG) SABRE et des équipes cynophiles, aux départs et arrivées en zone gendarmerie.
Enfin, lors de la dernière étape à la Super Planche des Belles Filles, qui verra l’itinéraire privatisé, les effectifs de la bulle permanente de sécurité et ceux du groupement de gendarmerie départementale seront renforcés par des élèves gendarmes de l’école de Montluçon ainsi que par quatre binômes de l’Unité opérationnelle franco-allemande (UOFA). Enfin, les antennes GIGN de Reims et de Dijon seront également placées en réserve, en mesure d’intervenir en cas d’incident le nécessitant. L’ensemble du dispositif sera de nouveau placé sous le commandement du lieutenant-colonel Joël Scherer, officier de liaison sur les deux rendez-vous cyclistes.
Source GendInfo