Depuis mardi 1er février et jusqu’au jeudi 10 février, hors week-end, un hélicoptère EC145 de la gendarmerie nationale effectue un survol de l’agglomération de Toulouse.
« Ces vols à basse altitude dans le ciel toulousain s’inscrivent dans le cadre d’une préparation en amont des grands événements sportifs », précisent les services préfectoraux de la Haute-Garonne.
Cette opération vise donc à la protection de la population, dans un objectif de préparation opérationnelle en vue des grands événements à venir, notamment la coupe du monde de Rugby 2023 ou encore les Jeux Olympiques de 2024.
Trois survols quotidiens
Concrètement, des survols à environ 50 mètres au-dessus des toits, et des allers retours à une vitesse de 70 km/ se déroule pendant cette dizaine de jours dans le ciel toulousain. « Hormis les nuisances sonores, la mission est sans conséquence sur les zones survolées. Aucune mesure particulière n’est à prendre pour la population toulousaine », souligne la préfecture.
Les vols s’effectue en semaine entre 8 h et 18h à un rythme de trois par jour, au départ et à destination de l’aéroport de Toulouse Francazal.
Menées sous l’égide du ministère de l’Intérieur, ces missions sont effectuées régulièrement au-dessus d’autres agglomérations, par des aéronefs de l’armée de l’Air, de la Gendarmerie ou de la Sécurité Civile. Ce dispositif permet de réaliser à un instant donné une cartographie de référence.
SOURCE : LADEPECHE.fr